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Vous retrouverez dans cette section les commentaires, références, partages d'expérience suggérés par les autres utilisateurs.

ARCHIVES

(Commentaire 25/09/14) Julie Dorsini, orthophoniste (France)

«J'ai fortement apprécié le petit guide, les rappels théoriques sont accessibles et bien "mis en scène". Je n'ai pas pu résister tout de même:1ère utilisation détournée...avec une adulte avec maladie neuro-degenerative. Super! Les supports permettent de faire jaillir plein d'activités...et ça, j'aime!» 

(Commentaire 25/09/14) Virginie Cailleux, neuropsychologue (Québec)

Un tel matériel manquait terriblement aux professionnels impliqués dans l'intervention auprès des enfants en difficulté (ou pas!). Merci aux auteurs d'avoir conçu MémoAction, qui apporte tant d'opportunités de médiation dans la quête d'une meilleure gestion en mémoire de travail !

(Commentaire 26/09/14) Cynthia Laroche, orthopédagogue (Québec)
Q: Pour ce qui est de MémoPICTO, il est inscrit, dans les consignes, de montrer les pictogrammes un à la fois à l'enfant. Par contre, jai remarqué qu'il est plus difficile pour N... de se faire une image mentale de ceux-ci s'il ne peut les voir globalement. J'imagine toutefois qu'il y a une raison derrière cela. J'ai quand même décidé de procéder de cette façon dans le but de l'aider à améliorer cette habileté. Par ailleurs, nous n'utilisons pas le temps dans cette activité, car je considère que la mémorisation est déjà un grand défi pour lui. Je lui laisse gérer le temps dont il a besoin. Cela prend en général 1 minute entre le moment où je lui montre le premier picto et le moment où je lui formule ma question (distracteur). Est-ce que je fais bien d'utiliser de cette façon?

 

R: ll y a effectivement une bonne raison pour laquelle les cartes de MemoPICTO doivent être présentées une à la suite de l'autre .... notamment en fonction de la gestion de la charge cognitive en MDT. Cette notion sera développée de façon plus exhaustive ultérieurement dans la section Boîte à outils/MemoBINAIRE. Ne pas utiliser la contrainte de temps peut être une excellente initiative en autant que l'on propose une stratégie à l'apprenant pour qu'il arrive à augmenter sa vitesse de traitement de l'information. Il ne faut pas oublier que  MemoAction est un outil de remédiation et RIEN n'empêche d'emménager la procédure en fonction des besoins du client. MA se veut un outil flexible et non un "jeu" soumis à des règles strictes et immuables. C'est là que réside la médiation... s'ajuster à la condition du client et faire preuve de créativité dans les modalités d'intervention.  (PPG)

(Commentaire 16/11/2014) Michèle Mazeau, médecin de rééducation. (France)

Les explications et la présentation aussi difficile à présenter d’un thème aussi difficile que la mémoire de travail, de le rendre accessible aux adultes et aux enfants, et de donner des exemples et situations concrètes qui font "vivre" la notion, est absolument remarquable.Les exercices  proposés et les consignes données au coach sont clairs et précis, toujours explicitement orientés vers un but bien détaillé, avec des objectifs précis et bien argumentés.
Un vrai bonheur !
Les suggestions de généralisation sont tout simplement formidables : d'une part elles disent que le meilleur exercice du monde n'est rien s'il ne peut pas être transféré "dans la vraie vie" (en condition écologique), d'autre part, on retrouve dans cette trousse de remédiation, des exemples et des pistes qui élargissent concrètement (en situation) la compréhension des objectifs et des résultats attendus.

 

 

(Commentaire 16/01/2015) Sophie Préville, orthopédagogue (Québec)
 

J’ai commencé à utiliser le matériel MémoAction avec certains de mes élèves. J’ai trouvé la présentation du vidéo-clip d’explication de la MDT extrêmement intéressante. Les élèves étaient intéressés et émettaient des commentaires, des questions et des exemples pertinents.

La présentation du vidéo clip et le guide de l'intervenant peuvent être téléchargés à partir de la page ACCUEIL (PPG)

 

Q: L’un de mes étudiants de 15 ans a plusieurs symptômes du Syndrôme de Dysfonction Non-Verbale (il a un diagnostic non officiel de la psychologue scolaire) et je lui ai toujours dit de miser sur sa force; la boucle phonologique. Est-ce une bonne chose ? Dois-je effectivement tenir compte de sa limite ou tout de même tenter de développer son calepin visuospatial ?

 

Nous sommes au niveau novice de l’activité MémoMots. Évidemment, il n’a aucun problème avec la boucle phonologique, mais et il lui est extrêmement difficile de «voir» les phrases et cela semble lui nuire au niveau du comptage des lettres qu’il ne réussit jamais. Nous essayons différentes techniques comme imaginer la phrase sur un écran d’ordinateur ou les lettres blanches sur fond noir par exemple. Devrais-je tenter de développer ses capacités en imagerie mentale ou tous ces efforts sont voués à l’échec étant donné son profil ?

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